Si modeste soit-elle, cette chapelle est entrée dans l’histoire judiciaire du XVIIe, alors qu’Arpentigny était un foyer de protestantisme. Le seigneur, Jean de Gravelle, manifeste son impiété en refusant l’accès de la chapelle aux paroissiens, en y gardant ses porcs, y faisant briser les images, ôter la cloche qu'il fait mettre au haut de sa maison, emporter le bénitier pour en faire une auge à volailles, ôter bancs, ornements et meubles. Il est condamné en 1647 par la Cour du Parlement de Paris pour ces faits de fanatisme outré : la chapelle doit être remise en état et rouverte.